
EGLISE D’OUTREMÉCOURT
Extrait de : Outremécourt ou l’héritage de La Mothe, simple notice, par l’abbé Liébaut, Langres, Firmin-Dangien, 1889.

LE PONT SAINT PART
Mentions : Le pont Saint Part, sous La Mothe, en 1894.
en haut : souvenirs du Bassigny
en bas : Photo J.Royer, Nancy
Extrait de Souvenirs du Bassigny – La dernière délibération de la communauté de La Mothe, Nancy, Crépin-Leblond, 1894, par Jules Marchal (HT page 37)
Une carte postale a été éditée à partie de ce cliché, mais il a été inversé.

LA CHAPELLE D’OFFRÉCOURT
Mentions : La chapelle d’Offrécourt, sous La Mothe, en 1894.
en haut : souvenirs du Bassigny
en bas : Photo J.Royer, Nancy
Extrait de : Souvenirs du Bassigny – La dernière délibération de la communauté de La Mothe, Nancy, Crépin-Leblond, 1894, par Jules Marchal (HT page 41).

INAUGURATION DU MONUMENT DE LA MOTHE
Inauguration du monument de La Mothe le 7 juin 1897.
Mentions : Société d’Archéologie lorraine
Monument de La Mothe
Photo publiée dans : le monument de La Mothe – Souvenir offert aux souscripteurs, Nancy, imprimerie Crépin-Leblond, 1897.

LE PONT CINQ-PARTS
Mention : Pont Cinq Parts 1909
Vu depuis le nord.

LE PONT CINQ-PARTS
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 9.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Considéré par plusieurs auteurs comme remontant à l’époque de l’invasion romaine, tombe en ruines.. Vainement la commune a sollicité à plusieurs reprises une subvention de l’Rtat pour le réparer. Tous ceux qui s’intéressent à La Mothe sont d’accord pour en désirer le classement ».
Vu depuis le Sud.

PASSAGE SOUTERRAIN
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 13
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Passage souterrain près la porte de France.
Rendit faciles les sorties meurtrières des assiégés »

INTÉRIEUR DU PASSAGE SOUTERRAIN DU BASTION SAINT-NICOLAS
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 17.
Photo : Valck, Nancy
Légende : « Intérieur du passage souterrain du bastion Saint-Nicolas, qui fut, avec le bastion Sainte-Barbe, au cours des différents sièges, l’objectif principal des assauts français ».

UNE CAVE
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 57.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Cave mise à jour dans la Grande rue. L’escalier a douze marches ».

LE BASTION SAINT-NICOLAS
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 23.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Souterrain et galerie d’écoute du bastion Saint-Nicolas ».

LE MONUMENT
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 25.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Là ont été réinhumés les restes des soldats français et lorrains, trouvés lors des premières fouilles – Erection en 1897, sous les auspices de la Société d’archéologie lorraine (Nancy), chargée, par arrêté du préfet de la Haute-Marne du 14 avril même année, de la direction des fouilles commencées à cette époque ».

« AU VIEIL POT ».
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 49.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Au Viel Pot» – Cabaret Cliquot. Chalet élevé non loin du monument et pouvant servir d’abri aux visiteurs, ouvert du 15 mai au 15 octobre. Restaurant, fêtes, jeux, tir de salon, théâtre de verdure, etc ».

ENTRÉE DE LA VILLE PAR LA PORTE DE FRANCE
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 51.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende :« Entrée de ville par la porte de France, découverte en 1922 ».

LE BASTION SAINT-NICOLAS EN JUILLET 1955

LA PORTE SOUTERRAINE EN JUILLET 1955

L’ENTRÉE DE LA PORTE SOUTERRAINE AVANT 1967
Pour permettre de laisser entrer une mini-pelle afin de dégager les déblais qui encombraient la porte souterraine, fut partiellement détruit, vers 1967, le mur construit en 1589-90 qui barrait l’accès à l’ancien porte souterraine (qui fut alors transformée en casemate d’artillerie).