Mentions : La chapelle d’Offrécourt, sous La Mothe, en 1894.
en haut : souvenirs du Bassigny
en bas : Photo J.Royer, Nancy
Extrait de : Souvenirs du Bassigny – La dernière délibération de la communauté de La Mothe, Nancy, Crépin-Leblond, 1894, par Jules Marchal (HT page 41)
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 9.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Considéré par plusieurs auteurs comme remontant à l'époque de l'invasion romaine, tombe en ruines.. Vainement la commune a sollicité à plusieurs reprises une subvention de l'Rtat pour le réparer. Tous ceux qui s'intéressent à La Mothe sont d'accord pour en désirer le classement ».
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 17.
Photo : Valck, Nancy
Légende : « Intérieur du passage souterrain du bastion Saint-Nicolas, qui fut, avec le bastion Sainte-Barbe, au cours des différents sièges, l'objectif principal des assauts français ».
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 25.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Là ont été réinhumés les restes des soldats français et lorrains, trouvés lors des premières fouilles - Erection en 1897, sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine (Nancy), chargée, par arrêté du préfet de la Haute-Marne du 14 avril même année, de la direction des fouilles commencées à cette époque ».
Photo publiée par René GOUTHIERE dans « La Mothe et ses ruines », Mémoires de la Société des lettres de Saint-Dizier, XVI, 1924, 3e édition, page 49.
Auteur : « Valck, Nancy ».
Légende : « Au Viel Pot» – Cabaret Cliquot. Chalet élevé non loin du monument et pouvant servir d'abri aux visiteurs, ouvert du 15 mai au 15 octobre. Restaurant, fêtes, jeux, tir de salon, théâtre de verdure, etc ».
Pour permettre de laisser entrer une mini-pelle afin de dégager les déblais qui encombraient la porte souterraine, fut partiellement détruit, vers 1967, le mur construit en 1589-90 qui barrait l'accès à l'ancien porte souterraine (qui fut alors transformée en casemate d'artillerie).